Mardi matin et après-midi 04 août.
Si au matin du 21 juillet, nous avions dû annuler la chasse aux trésors qui ne pouvait avoir lieu, faute de concurrent, le mardi 04, c’est un « carnet surbooké » auquel, nous devions faire face.
Afin de préserver de la sécurité sanitaire de chacun et chacune, notre président, Jean Paul Venet, a pris la décision de faire deux séances (après consultation de la météo) pour une seconde, l’après midi.
Le matin:
L’après midi:
Toujours dans le respect des règles protocolaires dû, à la pandémie, c’est sous un ciel clément que le matin et l’après midi, le jeu démarra.
Cela après avoir fait le tour de repérage, nécessaire au jeu.
Nous allions voir tou(te)s ensemble.
Le four à pain:
La maison du Bailly:
Le sentier d’en haut:
Le théâtre de verdure:
La montée vers la chapelle:
Descente vers le jardin botanique:
Jardinet de la maison d’accueil:
Maison d’accueil:
Puis retour, vers le préau d’accueil où maitre Samuelo expliquait le jeu et sa règle.
On pouvait commencer.
Comme d’habitude, la chasse se déroula dans un sympathique désordre de nos jeunes participant(e)s, qui le temps de se mettre dans le « bain », allaient deci – delà, quitte cherchée une question, quitte donnée une réponse, devant les preux chevaliers d’Artias.
Nos jeunes concurrent(e)s, du matin et de l’après midi, après avoir trouvé les trésors, puis se faire adoubés chevaliers et chevalières, se retrouvaient pour partager le boire et le manger d’une course essoufflante autant qu’effrénée.
Pour le matin, c’est vers midi un quart et pour l‘après – midi, c’est vers 16 h 45, que l’on se dit à l’année prochaine.
Le plus beau mot de la semaine, se fût de la part d’une mère d’un petit participant, qui nous dit:
« Je ne suis pas de la région, mais je peux vous dire, pour avoir fait participer mes enfants à plusieurs chasses aux trésors, vous êtes le seul endroit en France, où j’ai trouvé une âme, aussi bien sur votre site qu’au déroulement de votre jeu: “Bravo, les Amis d’Artias“.
Merci, madame.
Allez ! à mardi prochain, prenez bien soin de vous, et pas d’imprudence.